La tendance a voir le bon côté des choses porte un vrai nom dans les sciences cognitives : on appelle cela le biais d’optimisme.
Ce biais influence notre logique rationnelle. Par le biais d’expériences, des scientifiques ont montré qu’on accordait 50 % d’importance de plus aux résultats positifs. Mieux encore, au plus on joue, au plus les gains provoquent des attentes positives, puisqu’on a déjà gagné.
Ce qui peut expliquer aussi notre engouement progressif au fur et à mesure des victoires et la déception aux allures de gueule de bois.
Mais alors, si on y croit, les neurosciences ne nous disent-elles pas qu’on influe le cours des choses en programmant positivement notre cerveau?
Plus loin encore, si l’on se base sur les études d’Einstein et qu’on l’y ajoute les dernières recherches sur la métaphysique, on peut en déduire qu’un champ de pensée positif crée de futures actions allant dans le sens de notre intention optimiste.
J’ai presque envie de dire : C.Q.F.D

Par ailleurs, les chercheurs ont identifié qu’une zone spécifique s’allume dans le cerveau lorsqu’on s’emballe positivement : le striatum ventral, soit une zone profonde dans notre cerveau et très ancienne en termes d’évolution.

On est pas prêts de s’arrêter d’y croire, alors…

(Source : sciences et avenir)

Une équipe de chercheurs de l’Inserm et de l’Ecole normale supérieure (ENS) a étudié le comportement naturel optimiste chez l’homme et a publié une étude très sérieuse dans Nature Human Behaviour

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