Du faux touriste au vrai voyageur
Plus jeune, je voyageais avec mes parents avec une vision qu’on appelle aujourd’hui « chez l’habitant ».
Plus jeune, je voyageais avec mes parents avec une vision qu’on appelle aujourd’hui « chez l’habitant ».
Youpi youpi l’école est finie !
C’est le printemps, cui-cui, les bourgeons éclosent, les fleurs émergent, la peau respire sous un soleil timide, les hormones s’emballent un peu, beaucoup, à la folie ou pas du tout, comme les pâquerettes qu’on épétale lascivement en rêvant à l’amour, présent, passé ou futur.
Comme nous sommes une grande famille, j’ai eu envie de partager avec vous un grand moment : vendredi, j’ai été voir mon premier opéra.
J’ai envie de la jouer couche-toi moins bête. Que sais-tu de la Saint Patrick ? et non, toutes les réponses ne se trouvent pas au pub irlandais du coin.
J’ai le teint gris, les yeux ternes, j’en ai marre de la nuit qui tombe à 14.15 mais des journées qui sont pourtant interminables, du taux d’humidité à 83 % et de mes cheveux qui ont l’allure d’un mouton écossais rescapé de la fête du sacrifice.